Les congés, j’y tiens beaucoup.
D’autant que longtemps, j’ai fait comme si je n’en avais pas besoin.
Je n’en ai donc pas pris. Et j’ai payé le prix fort.
Depuis, je m’y accroche et invite mes clientes à ne pas les considérer comme un luxe mais comme une nécessité.
Prendre des congés, c’est plus qu’un droit
C’est un moment de détente, de déconnexion et de reconnexion à soi (et à sa famille).
Pour rappel, le stress est non seulement l’ennemi de notre bien-être physique et mental, mais c’est aussi l’ennemi juré de la performance de long terme.
Les vacances sont aussi un moment pour prendre du recul.
C’est l’occasion d’offrir à son corps et son esprit l’apaisement qu’ils passent beaucoup de temps à chercher sans toujours les trouver.
C’est aussi le meilleur moyen de prévenir les risques d’épuisement, d’augmenter la productivité et renforcer sa résilience.
Bref, les vacances, je les aime.
Et, si j’en avais le pouvoir, je vous les prescrirai – ordre du médecin, enfin de moi-même.
S’absenter, poser des jours, partir… pour faire quoi?
Qu’elles soient l’occasion de retrouver des amis, de s’éloigner de nos routines et de faire le point sur nos essentiels, j’aime tout dans les vacances.
En famille à la maison, en famille chez des amis, seule à l’étranger, seule chez des ami.e.s, etc. toutes les configurations sont chéries.
L’exact opposé du blues du dimanche soir
Mais ce que je préfère, et c’est Bénédicte Tilloy qui m’a permis de mettre le doigt dessus (merci 🙏) – c’est le moment qui précède le départ, ce juste avant, quand tout est prêt, et que rien n’a encore véritablement commencé.
Pour finir, le meilleur moment des vacances, c’est encore la veille au soir.
Quand tout reste à venir.
Un pur moment de délice qui pourrait presque se suffire à lui-même…